Le lundi 14 octobre 2024, Dr Sandra Ablamba Johnson, Ministre et Secrétaire générale de la Présidence de la République, ainsi que Gouverneur du Togo auprès de la Banque mondiale, a reçu Abdou Salam Bello, Administrateur en fin de mandat du Groupe Afrique II de la Banque mondiale. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations entre le Togo et la Banque mondiale, notamment à travers le nouveau Cadre de Partenariat Pays (CPP) pour la période 2025-2029.
Lors de cette réunion, les deux parties ont discuté des projets financés par la Banque mondiale et des réformes audacieuses opérées par le Togo pour promouvoir le développement durable et la résilience. Abdou Salam Bello a salué les efforts du Togo dans la mise en œuvre de ces projets et a souligné l’importance de cette collaboration pour l’avenir économique et social du pays.
Les discussions entre le ministre et l’Administrateur auraient probablement porté sur les objectifs de renforcement des capacités institutionnelles, l’identification des projets prioritaires, l’évaluation des résultats passés et les stratégies de financement innovantes.
Les résultats de ces échanges peuvent avoir plusieurs implications positives telles que l’accroissement du soutien financier, l’amélioration des politiques publiques, le renforcement de la coopération internationale,…
Selon Togo-Presse, trois accords de financement ont été signés, ciblant des domaines cruciaux tels que l’éducation, la santé et l’infrastructure, qui bénéficieront d’un soutien accru pour améliorer la qualité de vie des citoyens et renforcer les capacités nationales en matière de développement durable.
En mai 2024, le Togo et la Banque mondiale auraient officiellement adopté un nouveau Cadre de Partenariat Pays (CPP) pour la période 2025-2029, visant à renforcer la résilience des populations, l’accès à l’électricité, la performance de l’administration publique et la cohésion sociale.
Par ailleurs, de nouvelles opportunités de mobilisation de ressources supplémentaires se profilent avec la mise en œuvre du nouveau cadre de partenariat pour lequel le Groupe de la Banque mondiale envisage de mobiliser plus de 1,5 milliard de dollars (900 milliards de FCFA), qui permettra d’appuyer les reformes et les investissements d’autres secteurs stratégiques tels que l’agriculture, l’énergie, la connectivité et le développement des villes secondaires pour les cinq prochaines années.
Ces échanges marquent une avancée déterminante dans le partenariat entre le pays et l’institution financière internationale, et visent à obtenir un soutien financier tout en garantissant une utilisation optimale de ce soutien pour répondre aux besoins urgents du pays.
La Rédaction